[FR] GeoLAGON prévoit des logements abordables et un comité citoyen de surveillance des travaux

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Les villages geoLAGON a partagé, hier, deux études environnementales qui se veulent favorables au mégaprojet de Petite-Rivière-Saint-François, selon des données préliminaires.

Menée par la firme d’experts-conseils, LCL environnement, les deux études ont été commandées par GeoLAGON inc. et son promoteur, Louis Massicotte.

Une première étude conclue que le scénario de projet à Petite-Rivière-Saint-François produira jusqu’à 169,6 tonnes de CO2 par année, soit l’équivalent de 48.5 voitures. À titre comparatif, il faudra planter un peu plus de 5000 $ en arbre pour compenser les émissions de GES et atteindre la carboneutralité, chose que l’entreprise s’est déjà engagé à faire, toujours selon LCL environnement.

La seconde étude confirme que le projet répond à l’ensemble des thématiques des 3 sphères du développement durable, soit l’environnement, la société et l’économie, en se basant sur la grille d’analyse en développement durable développée par la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi.

Entre autre, le projet prévoit la construction de 30 à 50 logements abordables de 2 à 3 chambres qui seront loué à 400 $ par mois, selon les premières estimations. En échange, les occupants devront travailler un minimum de 15 heures rémunérées par semaine sur le site.

Au niveau de l’alimentation, le projet prônera une culture d’entreprise tournée vers l’agrotourisme et un approvisionnement local. Les restaurateurs de la région seront également invités à occuper les stations d’alimentation sur le site.

Deux sorties scolaires seront remises gratuitement aux élèves de Petits-Rivière-Saint-François, en plus d’une sortie par mois aux résidents de la municipalité. Ces derniers seront appelés à s’impliquer dans un comité de surveillance des travaux.

« Les villages geoLAGON ont fait des efforts très importants pour créer une nouvelle façon de construire dans un modèle carboneutre innovateur qui a attiré l’attention des médias du monde entier dans une vingtaine de langues depuis septembre. Nous sommes satisfaits de constater que deux études confirment la valeur de nos démarches. », a indiqué Louis Massicotte par voie de communiqué.

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